4 et 5 Août
En ce mardi, les prévisions météorologiques annoncent une tempête ; beaucoup de vent puis neige. Impensable d’espérer skier. Pat nous propose d’aller faire un tour de cheval dans la pampa pour occuper la journée.
Au réveil, Eric se retrouve avec un torticoli, pas de cheval pour lui, il restera à l’appart ppur récupérer et espérer skier demain. Nous voilà donc partis, Bertrand et moi, accompagnés de Pat et Fred, en direction de Malargüe. Après une heure de route, nous arrivons dans un ranch qui ne paye vraiment pas de mine. Christian, le gaucho maison, nous file une monture à chacun, et nous voilà parti pour six heures de cheval. Heureusement, Pat nous avait prodigué quelques conseils dans la voiture, car ici, c’est loin d’être comme en France : on te donne ton cheval et c’est parti. Du coup, on se retrouve rapidement en train de faire notre premier galop, quelques minutes seulement après être partis. Sympa. Les bêtes ne semblent pas trop folles, on va pouvoir s’amuser.
Après une heure de randonnée tranquille, pause déjeuner. On s’arrête dans une pisciculture où l’on nous sert des truites à toutes les sauces, de l’apéro au plat de résistance. Ca change des costillas mais c’est sympa. L’après midi, c’est balade freeride à travers la pampa. Rien autour de nous à des kilomètres à la ronde, nous voilà perdus au milieu de ces immenses étendues de sable et rochers, buissons et épineux. On a du mal à le croire, on dirait un film. En toile de fond les Andes perdent leurs cimes dans les nuages. Splendide décor pour envoyer de grands galops. On y prendrait goût…
La fin de la balade s’avère un peu aventureuse avec la traversée d’une rivière qui nous semble plutôt fraîche, alors que les chevaux sont eux excités de rentrer...
Un super moment qui restera certainement longtemps dans nos mémoires. Nous étions venus skier, nous avons joué aux gauchos toute la journée à courir les chèvres. Original, et plus qu’agréable. La journée se termine autour d’un café gentiment offert par le ranch, preuve une nouvelle fois de l’hospitalité des argentins.
Le retour à Las Leñas, se fera sous la neige. Les prévisions ont vu justes. Pourtant, ce n’est pas ce qui nous empêchera de faire le traditionnel asado, non sans mal. Faire le barbecue sous la neige le 4 Août, que demander de plus ?
La journée d’Eric à l’air d’avoir payée, et du coup le soir, tout le monde est excité par la neige, et fabule sur les descentes à venir le lendemain…
Ce jour, réveil matinal, branle bas de combat, tout le monde n’attend qu’une chose : l’ouverture, pour profiter des 40 cm de peuf qu’a gentiment déposé dame nature pendant la nuit. Dans le télésiège, on est comme dans des starting blocks. Les possibilités de runs seront limitées du fait du vent, il faudra donc être rapides. Un peu pris par l’euphorie, nous partons comme des fous et rapidement, les chutes s’enchaînent.
Sans doute trop pressés de descendre pour recommencer, nous en oublions de penser à notre ski, aux conseils de Pat, et à retrouver des sensations dans ce noble matériau. Au fil des descentes, ça va un peu mieux, nous traçons nos lignes dans les quelques pentes vierges que nous autorise la météo. Malgré le plaisir que nous prenons, notre technique est visiblement à revoir si l’on veut profiter pleinement des jours à venir dans des faces plus pentues et surtout moins larges.
Nous profitons donc de cette journée off au niveau des itinéraires pour travailler notre technique en poudre. Sur les conseils miraculeux de Pat, nous nous surprenons à envoyer de plus en plus et à jouer avec le relief . En fin de journée, les derniers runs s’enchaînent et nous rassurent : nous retrouvons des sensations et notre technique se peaufine…Encourageant, reste à voir dans les jours à venir.
En ce mardi, les prévisions météorologiques annoncent une tempête ; beaucoup de vent puis neige. Impensable d’espérer skier. Pat nous propose d’aller faire un tour de cheval dans la pampa pour occuper la journée.
Au réveil, Eric se retrouve avec un torticoli, pas de cheval pour lui, il restera à l’appart ppur récupérer et espérer skier demain. Nous voilà donc partis, Bertrand et moi, accompagnés de Pat et Fred, en direction de Malargüe. Après une heure de route, nous arrivons dans un ranch qui ne paye vraiment pas de mine. Christian, le gaucho maison, nous file une monture à chacun, et nous voilà parti pour six heures de cheval. Heureusement, Pat nous avait prodigué quelques conseils dans la voiture, car ici, c’est loin d’être comme en France : on te donne ton cheval et c’est parti. Du coup, on se retrouve rapidement en train de faire notre premier galop, quelques minutes seulement après être partis. Sympa. Les bêtes ne semblent pas trop folles, on va pouvoir s’amuser.
Après une heure de randonnée tranquille, pause déjeuner. On s’arrête dans une pisciculture où l’on nous sert des truites à toutes les sauces, de l’apéro au plat de résistance. Ca change des costillas mais c’est sympa. L’après midi, c’est balade freeride à travers la pampa. Rien autour de nous à des kilomètres à la ronde, nous voilà perdus au milieu de ces immenses étendues de sable et rochers, buissons et épineux. On a du mal à le croire, on dirait un film. En toile de fond les Andes perdent leurs cimes dans les nuages. Splendide décor pour envoyer de grands galops. On y prendrait goût…
La fin de la balade s’avère un peu aventureuse avec la traversée d’une rivière qui nous semble plutôt fraîche, alors que les chevaux sont eux excités de rentrer...
Un super moment qui restera certainement longtemps dans nos mémoires. Nous étions venus skier, nous avons joué aux gauchos toute la journée à courir les chèvres. Original, et plus qu’agréable. La journée se termine autour d’un café gentiment offert par le ranch, preuve une nouvelle fois de l’hospitalité des argentins.
Le retour à Las Leñas, se fera sous la neige. Les prévisions ont vu justes. Pourtant, ce n’est pas ce qui nous empêchera de faire le traditionnel asado, non sans mal. Faire le barbecue sous la neige le 4 Août, que demander de plus ?
La journée d’Eric à l’air d’avoir payée, et du coup le soir, tout le monde est excité par la neige, et fabule sur les descentes à venir le lendemain…
Ce jour, réveil matinal, branle bas de combat, tout le monde n’attend qu’une chose : l’ouverture, pour profiter des 40 cm de peuf qu’a gentiment déposé dame nature pendant la nuit. Dans le télésiège, on est comme dans des starting blocks. Les possibilités de runs seront limitées du fait du vent, il faudra donc être rapides. Un peu pris par l’euphorie, nous partons comme des fous et rapidement, les chutes s’enchaînent.
Sans doute trop pressés de descendre pour recommencer, nous en oublions de penser à notre ski, aux conseils de Pat, et à retrouver des sensations dans ce noble matériau. Au fil des descentes, ça va un peu mieux, nous traçons nos lignes dans les quelques pentes vierges que nous autorise la météo. Malgré le plaisir que nous prenons, notre technique est visiblement à revoir si l’on veut profiter pleinement des jours à venir dans des faces plus pentues et surtout moins larges.
Nous profitons donc de cette journée off au niveau des itinéraires pour travailler notre technique en poudre. Sur les conseils miraculeux de Pat, nous nous surprenons à envoyer de plus en plus et à jouer avec le relief . En fin de journée, les derniers runs s’enchaînent et nous rassurent : nous retrouvons des sensations et notre technique se peaufine…Encourageant, reste à voir dans les jours à venir.
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